Wpis z mikrobloga

Sous le crépuscule ultime, le rideau tombe lentement,
La fin du monde, un chapitre clos silencieusement.
Les échos du passé murmurent dans l'ombre,
Dernières notes d'une symphonie sans nombre.
Les océans pleurent des larmes de sel,
Les montagnes s'inclinent, récit d'un adieu cruel.
Le vent chante une ballade de souvenirs,
Embrassant la terre, sur le point de partir.
Les étoiles se retirent, leur éclat s'éteint,
Un ciel en deuil, où la lumière n'a plus de teinte.
Les oiseaux tracent des ombres dans le ciel vide,
Le dernier souffle, une mélodie splendide.
Mais au milieu des ruines, une graine résiste,
La promesse d'un recommencement, une pousse persiste.
Au seuil de l'au-delà, une lueur émerge,
Une éternité nouvelle, où l'espoir converge.
Ainsi se termine ce poème, un dernier soupir,
Dans les cendres du passé, l'avenir veut s'établir.
La fin n'est qu'un prologue, une porte entrebâillée,
L'infini attend, dans sa mystérieuse clarté.